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 | Enfin un vrai débat!
Message publié par Tango y cause le 18-08-2001 (répondre) | | | Sur ce forum, on cause, on cause, mais l'on ne débat point assez!
Alors voilà, un sujet pour un débat d'enfer, où on a presque pas le droit de parler tarot! A moins que... Evidemment, dans ce cas, vous avez le droit:
L’ORGASME LEUR EST-IL DONNÉ?
On tient facilement pour acquis que les hommes savent comment se satisfaire sexuellement, et que c’est à eux de satisfaire leur partenaire… À les écouter, on se rend compte que la plupart d’entre eux se contentent d’une bonne éjaculation, et mesurent leur plaisir à celui qu’ils ont apporté à leur partenaire. Peuvent-ils prétendre à quelque chose de plus?
par Tango
Traditionnellement, les hommes sont responsables du plaisir qu’ils procurent à leur partenaire. Le leur? ils en parlent à peine, ou parlent de celui de l’autre: «Quand je vois qu’elle jouit, quand je sens son corps trembler sous moi et qu’elle gémit ou qu’elle crie, là, je suis vraiment satisfait, explique Mario, 42 ans. Peu importe si j’aboutis au même moment ou pas!» Entre eux, les hommes se vantent de leurs performances, remarquent les belles femmes qu’ils croisent, détaillent ce qu’ils leur feraient si… Bref, ils sont souvent grossiers: «Les hommes parlent de cul, pas de leur propre sexualité», avoue franchement Xavier, 26 ans.
Ils discutent d’ailleurs si peu de leur expérience intime du plaisir sexuel et de l’orgasme que, lorsqu’on les interroge à ce sujet, ils manquent de mots pour décrire ce qu’ils ressentent. Ils patinent, c’est vrai, mais ça vaut la peine d’être rapporté, puisque certains ont osé se livrer.
L’ORGASME
Orgasme veut dire «bouillonnement d’énergie» et, en ce sens, l’éjaculation correspond assez bien à cette définition. Toutefois, l’éjaculation n’est que la partie visible, physiologique (voir encadré), de l’orgasme. Elle l’accompagne, en couronne le paroxysme, mais n’en fait pas à tous les coups une expérience transcendantale. Une éjaculation précoce, par exemple, ne constitue qu’un orgasme de piètre qualité, insatisfaisant. «Il y a aussi des orgasmes ratés. On passe à côté: l’excitation grandit, grandit, et on perd le fil, l’orgasme qui suit est quelconque… Dans ce cas, il faut tout reprendre de zéro», explique Marc, 34 ans.
__ENCADRÉ À PART DU TEXTE__
Physiologie de l’orgasme
Du point de vue purement physiologique, l’orgasme se manifeste par l’éjaculation. Ainsi donc, en dépit d’un nouveau courant de pensée qui laisse entendre qu’éjaculation n’est pas nécessairement synonyme d’orgasme, l’un ne va généralement pas sans l’autre. Lorsque la stimulation sexuelle devient intense, des influx nerveux rythmiques provenant du système sympathique (involontaire) quittent la moelle épinière au niveau des vertèbres lombaires et sacrées vers les organes génitaux et les muscles squelettiques. Ces influx provoquent des contractions des canaux transportant le sperme, de la prostate, ainsi que des muscles du bassin, des cuisses et de la base du pénis, ce qui projette le sperme profondément dans le vagin. Le rythme cardiaque et le rythme respiratoire s’accélèrent et la tension artérielle s’élève, tandis que les sensations agréables s’accentuent.
L’orgasme féminin est assez semblable, l’érection du clitoris remplace celle du pénis, et les contractions du vagin celles de la prostate et des muscles de la base du pénis.
__FIN D’ENCADRÉ__
MAIS ALORS, L’ORGASME?
Si un orgasme peut être quelconque, c’est qu’il y en a de moins banals! Et notre vocabulaire est effectivement dépourvu de mots précis pour les raconter. Selon M. Eugène Graziani, sexologue, l’éjaculation est alors précédée, accompagnée et suivie de «tout un univers de sensation, d’un bien-être physique, psychique et mental, d’un sentiment de plénitude ou d’unité, d’une perte de contrôle», et plus encore. Cet univers et tout le reste peuvent être décrits de mille manières, ou plus simplement d’aucune! Mais alors, pourquoi est-ce qu’on en sait si peu?
D’abord, parce qu’il y a peu d’hommes qui explorent leur sexualité en dehors du rôle et de l’image que la société dans laquelle ils vivent leur fournit. Et malgré la libération sexuelle vécue en Occident dans les années soixante, notre société reste encore largement répressive à l’égard de la sexualité. Les femmes n’échappent pas non plus à tout cela, mais il y a des explorateurs et des exploratrices partout! «À mes débuts, plus jeune, mon plaisir était assez simple, puis la qualité de mes orgasmes s’est diversifiée et approfondie. Ma relation avec les femmes a évolué, et l’attention que je prêtais à la performance est tombée», commente Marc, qui n’a jamais résisté à l’appel de la chair, et qui ne se fait pas prier pour parler de sexualité. Tout ce qu’il sait du plaisir des hommes lui vient de ses propres expériences, ainsi que de celles de ses amantes, «que j’ai souvent interrogées à propos des hommes qu’elles ont rencontrés».
C’ÉTAIT BON?
À cette question, Marc donnerait chaque fois une nouvelle réponse, car ses orgasmes sont d’intensité variée et prennent tous les visages que leur prêtent la situation, le moment et sa partenaire. «L’orgasme le plus étonnant que j’aie connu, je l’ai eu au téléphone! Au cours d’une nuit complète de discussion avec une fille qui avait “cliqué sur moi”. Au milieu de la nuit, nous nous masturbions chacun de notre bord. On se parlait, on s’excitait, ç’a duré longtemps. Tout d’un coup, j’ai eu un orgasme, avec éjaculation, et, 30 secondes plus tard, un second, encore plus fort, sans éjaculation», révèle-t-il. Il en a été tout surpris et n’a jamais pu répéter cette expérience assez exceptionnelle. Ce témoignage fournit cependant plusieurs informations cruciales. D’abord, on ne sait jamais vraiment jusqu’où mènera une partie de jambes en l’air, surtout par téléphone. «Quand on commence une relation sexuelle, on ne peut pas prévoir la force de l’orgasme qui en résultera», confirme Stéphane, 28 ans. Ensuite, on constate que la masturbation n’est pas qu’un pis-aller dont il faut avoir honte. «La plupart des hommes espèrent améliorer leurs orgasmes en changeant de partenaires, en cherchant la variété, alors qu’ils pourraient trouver plus même par la masturbation», dit M. Graziani. «L’orgasme est le fruit d’une expérience égocentrique», ajoute-t-il, et la masturbation permet de partir à la découverte de soi sans avoir à se soucier de l’autre ni de son rôle.
Les explorateurs, avec les années, aiment de plus en plus les relations à long terme, car le degré d’intimité atteint avec une partenaire devient pour eux aussi important que l’attrait physique. «Avec une partenaire, il y a partage de deux expériences égocentriques, et cela modifie les sensations de chacun. Tout le monde n’est pas prêt à partager quelque chose d’aussi intime qu’un orgasme avec n’importe qui», précise M. Graziani.
En ce qui a trait à la durée de l’acte, «le plaisir que procure un orgasme obtenu en 10 minutes, parce qu’on se réveille, qu’on a envie de faire l’amour, mais qu’on n’en a pas le temps, est souvent très bon, indique Marc, mais quand on prend son temps, ouf! quel orgasme!» L’intensité de l’orgasme dépend de plusieurs facteurs, mais tout semble lié à la façon de faire monter l’excitation sexuelle. Et pour la faire monter, rien de tel que d’allumer le désir de l’un et de l’autre bien avant l’étreinte, en se surprenant par une approche différente, en prenant des attitudes ou en faisant des gestes suggestifs. «Nos relations sexuelles commencent parfois des heures avant que l’on ne se touche vraiment; on se frôle, on se mange des yeux. Je hurlerais comme un loup en la regardant se déshabiller», raconte Stéphane. Ensuite, faire durer les préliminaires, chaque partenaire explorant, au fil des relations, le corps de l’autre zone par zone afin d’en réveiller toutes les terminaisons nerveuses et de savoir par où aller le «chercher». Et enfin, se jeter dans le corps-à-corps en pensant «sexe», en «faisant du sexe» sans accorder trop d’importance aux sentiments, c’est-à-dire en repoussant les frontières de l’érotisme et en étant aussi jouisseur que possible, quitte à ne jamais oser raconter ce qu’on a fait.
Le problème, c’est que les hommes ne sont pas programmés pour ressentir. «Ils sont beaucoup plus assujettis à leur rôle traditionnel; ils se contentent de l’aspect mécanique, des résultats qu’ils obtiennent. Ils n’expérimentent donc pas», regrette M. Graziani. Au moment de leurs premières relations, ils ignorent simplement tout du plaisir qu’ils pourraient retirer de leur corps. «Si j’avais su que j’éprouverai autant de plaisir à me faire sucer les orteils, j’aurais demandé qu’on me le fasse il y a bien longtemps», signale Bernard, 38 ans. «Si on m’avait proposé de me stimuler l’anus, j’aurais été scandalisé. Maintenant, ma compagne peut me rentrer le doigt dans le c… pendant que je la pénètre et j’adore ça! D’ailleurs, je lui fais pareil», s’enhardit Stéphane. Mais sans creuser aussi profond, est-ce que tout le monde sait que les mamelons des hommes peuvent entrer en érection et constituer une zone érogène aussi excitante que chez les femmes? Non, mais que risque-t-on à essayer!
L’AVENIR DE L’HOMME
«Les femmes se parlent plus de ce qu’elles ressentent, alors une fois qu’elles ont entendu parler des orgasmes des autres, elles ont plus facilement tendance à revendiquer le leur et même à aller consulter un sexologue», affirme M. Graziani. Les hommes, eux, sont confinés à leur rôle de «bons techniciens du plaisir» ou d’éjaculateurs précoces, parce que le fait d’avouer leurs limites «menacerait leur masculinité». Selon Marc, pour les hommes, «tout ce qui sort de la pénétration et de la fellation est tabou. Il y a plein de choses qu’ils considèrent avec dégoût. Ça, ce n’est pas propre! Mais lorsqu’ils essaient ces choses, ils peuvent découvrir de nouvelles sources d’excitation, ou ne pas aimer ça…»
Aux femmes qui se proposent d’entraîner leur chum dans l’aventure, M. Graziani conseille de tout oublier: «Prenez des risques, sortez de ce que vous connaissez déjà. Partez à la découverte du corps de votre partenaire. Oubliez la romance, soyez égoïstes en cherchant votre plaisir. Que l’homme considère la femme comme un énorme clitoris de la tête aux pieds, et qu’elle le prenne pour un énorme pénis! Utilisez votre partenaire, il vous dira jusqu’où vous pouvez aller, et il en apprendra autant sur lui que vous sur vous. Seulement, attention, ne le brimez pas dans sa perception de son rôle, ou bien vous aurez tout gâché…»
Terminons sur une belle évocation de ce que ça peut donner: «Mon plus gros orgasme, je l’ai eu à 33 ans. Ma nouvelle blonde, qui était devenue mon amante quelques mois plus tôt, après une longue et intense période de séduction, m’a demandé de me laisser faire et a commencé à me sucer. Je restais détendu en respirant profondément, et je me concentrais sur les sensations que m’envoyait mon pénis. La plante de mes pieds s’est mise à me brûler, tout comme le pourtour de mon gland, sur lequel ses lèvres allaient et venaient. Elle ne voulait pas que je m’occupe d’elle, et j’ai dû insister pour lui caresser le sexe et l’anus, car j’étais sûr que cela m’exciterait encore plus. Elle sentait la montée de mon plaisir et accélérait le rythme; ça en devenait insupportable! Quand j’ai senti que j’allais exploser, je lui ai demandé de venir sur moi, et elle m’a alors chevauché à bride abattue. J’ai littéralement explosé, en me déchargeant violemment en elle. Le plaisir était très intense, tout comme la brûlure au gland et sous mes pieds, et je l’ai donc priée de cesser tout mouvement. J’ai été pris d’un fou rire qui s’est gentiment transformé en chaudes larmes. Je me suis calmé, puis le fou rire m’a repris, et les larmes… Et ainsi de suite durant une vingtaine de minutes. J’étais au comble du bonheur, mais ma compagne ne savait qu’en penser et me regardait avec de grands yeux ébahis. Les quelques bribes d’explications hâchées par mes éclats de rire et par mes sanglots ne parvenaient pas à la rassurer», raconte Bernard, qui n’a jamais pu expliquer pourquoi, depuis cet orgasme, il lui arrivait régulièrement d’avoir une sensation de brûlure sous les pieds quand il pensait à sa blonde.
Paru dans la revue Clin D’œil, Montréal, 1997, écrit par moa-même. |
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| Re: Enfin un vrai débat!
Message publié par la sorcière le 18-08-2001 (répondre) | | | "...95 fois sur 100,
la femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse,
c'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
du contraire sont des cocus.
A l'heure de l'oeuvre de chair,
elle est souvent triste, peuchère.
S'il n'a pas le coeur qui bat,
le corps non plus ne bronche pas.
Les "encore", les 'c'est bon", les "continue"
qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues,
ces pures charités, les soupirs des anges ne sont,
en général, que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
se croit un amant extraordinaire,
que le coq imbécile et prétentieux perché dessus,
ne soit pas déçu.
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir,
elle s'emmerde, sans s'en apercevoir ;
ou quand elle a des besoins tyraniques
qu'elle souffre de nymphomanie chronique,
c'est alors elle qui fait passer à ses adorateurs,
de fichus quart d'heure....."..... (Georges BRASSENS... )
Cela dit, pour les bonnes 5 fois sur 100, je ris et je pleure .... mais rien sous les pieds 
La sorcière |
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| Re: Appel à la relance de tous les débats
Message publié par Novice le 18-08-2001 (répondre) | | | Arf Tango,
Un débat qui nous terrorise tous "la relation sexuelle" comment êtes-vous
Ben voilà comme mon pseudo l'indique, je peux pas parler d'expert , seulement je constate toujours que les réponses de femmes sont faites pour les faire passer pour des saintes, et que nous les hommes à part parler performances nous étions un peu gêner du sujet! Serait-ce dûs aux femmes? Le MLF et tout le toutim, qui en voulant mettre l'égalité méritée entre hommes et femmes, nous acculent et nous renferment sur nous mêmes? Ou tous simplement la nature qui, à son origine, nous à fait nous accoupler uniquement pour se reproduire et non pour le plaisir.
Nous cherchons à nous démarquer des animaux en parlant, cherchant toujours plus de plaisir, mais le plaisir n'est-il pas éphémères???
Alors aux prochaines relations ne vous bloquez pas sur la performance et tout ira pour le mieux. |
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| Re: 3 mecs version Merde in France
Message publié par JOK le 18-08-2001 (répondre) | | |
ce sont trois anglais (jean, robert et andré) dans un troquet qui depuis plus de 10 ans prennent tous les soirs quelques biéres en discutant de tout et de tous les sujets, et pourtant...
un soir Jean interpelle ses deux amis :
_ hé les gars y'a plus de 10 ans qu'on se connait et on n'a jamais parlé de Q ensemble !
Robert et André confirment :
_ c'est vrai, tu as raison
Jean :
_dites-moi les amis comment vous-faites pour faire gueuler vos femmes, mais vraiment gueuler quoi?
Robert :
_moi voyez-vous tout se prépare avec la bouche, mes lèvres, ma langue je commence dans le cou, la nuque, les seins puis le ventre...et alors là ELLE GUEULE !
André :
_et bien moi ce serait plutôt avec mes mains, mes doigts je caresse la nuque d'abord puis les épaules, la poitrine, les cuisses...et alors là ELLE GUEULE !
Robert et André :
_Alors à toi Jean raconte nous comment tu fais !
Jean :
_ben moé c'est pas ben compliqué...
...crack devant
...crack derrière
é pi j'm'essuie dans les rideaux...et alors là ELLE GUEULE ! |
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| Re: Enfin un vrai débat!
Message publié par sortileges le 19-08-2001 (répondre) | | | c'est un peu long, un peu chiant au debut mais ca vaut le coup de s'y attarder (je parle de ton message, pas de mes prouesses sexuelles....) en plus y'a plein de choses tellement vrais, comme explorer tout le corps de l'autre et y trouver du plaisir (ou du degout) - eh oui, n'oubliez pas les pieds ou les oreilles -
et puis ca m'a rappele une blague un peu sordide
comment appelle t'on le morceau de chair autour du clitoris ??
reponse : une femme
(sorry girls, just a joke)
bon tout ca n'a pas grand rapport avec le tarot, et risque d'etre censure (p'tain, j'oublie que la France est un pays libre, pas coince sur les @!#$ et @!#$ comme les ricains) donc je vais quand meme poser une question : JPG,puis je mettre l'excuse au dernier pli, et pourquoi ?
pfffffff
sorty
PS : les cheveux , ca pousse sur la tete ! |
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| Re: Et le débat, alors?
Message publié par Enzo le 19-08-2001 (répondre) | | | Yep gg qd tu écris signes tes mess,
car moi mon vrai nom c'est BB,
et ouè GG,
BB comme BUFFALO BILL
alors fait gaffe à toi, un seul m' résisté et je vais vs le délationner...
Au cours d'un duel, j'avais dit à mon nveau pote tu me jettes la pièces en l'air et avec mon colt je lui fait 6 trous avt qu'elle ne retombe....
-----yep c réusssi, et c'est là que je lui dit " MOI DS MON PAYS ON M'APPEL BILL, BUFFALO BILL"...
et ce con me met au défi ( un peu com toi GG...)
"Moi tu te mets 6 filles à genoux, je les prends ttes en même temps"
oki je demande à voir, et ce con l'a fait et me dit:
" MOI DS MON PAYS, ON M'APPEL BILL, TCHERNO BILL"
moralité: tjrs meilleur que soi GG, en parlant de ça je me suis plus souvent à 4 alors prds un peu d'avance car j'arrive... |
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